Affiliation et dropshipping : deux facons de gagner de l’argent sur internet

À l’heure où l’internet a pris une place prépondérante dans nos vies, devenant absolument incontournable pour la plupart de nos actions du quotidien, de la communication aux achats, en passant par l’information, les démarches administratives ou encore la formation, on peut aussi envisager y gagner sa vie.

Sans que cela relève de la science exacte, évidemment, on remarque que cela offre tout de même de belles possibilités, via des méthodes souvent plutôt simples, du moins à la portée de tous. Pour peu que l’on soit à l’aise avec l’outil informatique.

Les programmes d’affiliation

Peut-être vous a-t-on déjà proposé, si vous êtes à la fois présent et plutôt actif sur l’internet, de devenir ambassadeur d’une marque, d’un site marchand, que celui-ci propose des biens ou des services. Il s’agit alors de promouvoir cette entreprise par divers biais, en l’occurrence via, justement, votre présence sur le net en général, sur les réseaux sociaux en particulier. Il s’agit de l’affiliation.

Ce principe est particulièrement connu pour avoir d’abord été utilisé par de grandes plateformes de vente de biens en ligne en impliquant des sites éditoriaux tels que les blogs, agrégateurs de contenu et autres guides d’achat, il a aujourd’hui largement débordé de ce cadre. Il est d’ailleurs proposé soit en direct par les marques ou sites, soit en passant par des plateformes d’affiliation dédiées. Cette deuxième option a d’ailleurs tendance à assouplir le système : là où, par le passé, on passait systématiquement par la signature d’un contrat d’affiliation, elle rend désormais les choses beaucoup plus simples.

En effet, on constate que les nouveaux ambassadeurs sont aujourd’hui, plus que des blogueurs ou des journalistes, des personnes présentes sur les réseaux sociaux, ils sont à la base du développement du marketing d’influence. Tous les réseaux sociaux sont concernés en fonction de ce que l’on a à promouvoir. De même que l’affiliation est aussi pratiquée, et de plus en plus, par des sites de vente de services, comme vous pourrez par exemple le constater sur https://www.waalaxy.com/fr/ambassadeur-waalaxy/. Pour rebondir sur ce que nous avons évoqué précédemment, et selon toute logique, ce type de site recherche essentiellement des ambassadeurs présents sur des réseaux professionnels type LinkedIn.

Concrètement, l’affiliation peut se pratiquer selon plusieurs méthodes. Celles-ci vont de la simple installation d’une bannière cliquable sur un site ou blog, jusqu’au fait de proposer un code promotion personnalisé. Cela permet en effet de tracker l’activité de l’ambassadeur, et surtout pour l’entreprise affilieuse, de mesurer l’impact de ce partenariat et par là même de quantifier la rémunération due à l’ambassadeur.

Le dropshipping

Une définition s’impose. Le dropshipping est une variante du commerce en ligne qui permet au vendeur de s’exonérer totalement des opérations de stockage ainsi que d’expédition de la marchandise qu’il vend, en les faisant réaliser directement par son fournisseur.

L’intérêt est évident. Cela permet avant tout de se lancer sans mise de départ, ou alors réellement minime : on n’a guère besoin que de concevoir un site internet marchand qui tient la route, et par la suite, de l’entretenir. Pas besoin non plus d’investir dans un quelconque stock, ni même dans une solution logistique. Cela permet par ailleurs de proposer à sa clientèle une offre élargie. Ainsi que de la renouveler régulièrement.

Pour finir, ce principe de e-commerce permet de limiter grandement les risques liés aux variations de la situation économique. Au pire, on ne vend pas, ou alors juste moins, mais on ne perd par d’argent. On n’en gagne juste pas, ou alors moins.

Ce modèle présente cependant des aspects que l’on pourrait considérer comme étant négatifs. Alors que l’on est censé ne pouvoir vendre que des produits autorisés selon la réglementation en vigueur en France, il apparaît que nombre de sites pratiquant le dropshipping, proposent, parfois sans même le savoir, à la vente des produits interdits, contrefaits par exemple.

Tout reste néanmoins question de bon sens. Que l’on se place du côté du commerçant : une offre trop alléchante venant d’un fournisseur doit paraître suspecte, ou tout du moins éveiller la curiosité et inciter à quelques vérifications. Idem si l’on se positionne en tant que client : à nous de chercher à se renseigner le mieux possible sur l’achat que l’on s’apprête à faire. Cela dit, et à sa décharge, l’internaute n’est que très rarement conscient qu’il est en train d’effectuer un achat via le principe du dropshipping. Ce n’est en effet jamais précisé par les sites marchands le pratiquant.

Un autre corollaire du dropshipping est son aspect précaire. Le marchand est de fait totalement tributaire des choix commerciaux de son fournisseur. Ce dernier peut en effet choisir de supprimer une gamme de produits du jour au lendemain, d’augmenter drastiquement ses prix de vente par exemple.

Voilà pourquoi nous vous conseillons de ne pas baser l’intégralité de votre activité sur ce type de méthode, mais de plutôt l’envisager comme une source de revenus complémentaires.